Quand le soleil du soir,
étend sa couverture colorée,
Je ne peux que m'émouvoir,
De cet immensité azuré.
A l'aube de la nuit,
Assise sur tapis vert,
Ni impatience, ni ennui,
Mes yeux, grands ouverts.
Avide de contempler,
Le scintillement des étoiles,
Comme des lucioles capturées,
L'univers comme bocal.
Sommes-nous seul au monde,
Les planètes sont-elles arides,
Peut-être sont-elles fécondes,
Avec des paysages splendides.
Qui sait si, dans d'autres lieux,
Assis sur tapis vert, rouge ou bleu,
Quelqu'un lève la tête, fait un voeux,
Se demandant qui d'autre habite les cieux....
juin 2007
20 juin, 2007
Questionnement...
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